Présentation

L'institut Régional Sup-hotel ISTHAC,

Situé à Bonabéri face station total ndobo, est un établissement qui forme aux métiers de l'hôtellerie, la restauration, le tourisme...De par son expertise dans le domaine, la qualité de ses infrastructures, des partenariats techniques, locaux et pédagogiques internationaux, SUP-HOTEL obtient au BTS en 2016 100% de réussite. Accompagné par l'état du Cameroun et particulièrement du Ministère du tourisme et des loisirs et du ministère de l'Education nationale Sup-hotel ISTHAC propose des formations de niveau BTS et LICENCE PROFESSIONNELLE du domaine de l'hôtellerie-restauration-tourisme par la voie scolaire. Sup-hôtel ISTHAC a accueilli ses premiers étudiants en octobre 2012, A la date d’aujourd’hui, l’Institut dispose des infrastructures suivantes:

Un bloc pédagogique et administratif comprenant :
- 03 salles de cours magistraux entièrement équipés,
- une bibliothèque spécialisée équipée,
- des bureaux administratifs
- et des appartements d’hôtes pour enseignants étrangers

Un bloc technologique d’application comprenant :
- 01 restaurant d’application de 150 à 200 places assises, entièrement équipé ;
- 01 cuisine d’application équipée et répondant aux normes standards de cuisine école de formation supérieure en restauration gastronomique,
- Une salle des manifestations d’une capacité de 350 à 400 places
- D’une chambre froide
- Une salle de pâtisserie
- Un hôtel d’application en plein centre des affaires de la ville de Douala.
Se former à SUP-HOTEL ISTHAC c’est avoir la certitude d'intégrer la liste des futurs cadres de l’hôtellerie et de la restauration qui seront demandés dans les prochaines années pour appuyer les grands projets de construction d’hôtels de classes internationales qui sont en cours au Cameroun. Mais se former chez nous c'est avant tout bénéficier d'une formation répondant précisément aux standards internationaux en matière restauration, d'hôtellerie et tourisme.

Le promoteur

M. TEUFAK Pascal

SUP-HOTEL ISTHAC propose les voies pour réorienter le modèle de formation tourné vers les besoins de l’économie de notre pays. Il accompagne les jeunes diplômés à monter leur propre projet, à chercher des financements et à s’installer. Apprendre le métier de cuisinier c’est aussi s’adapter à l’environnement économique, c’est transformer la matière et comprendre et comprendre le fonctionnement, car dans notre métier, 80% c’est l’envie et le reste c’est la sueur : quand on nait avec certaines qualités devenir meilleur n’est qu’une question de temps. Les cuisiniers sont derrière leurs fourneaux, ils savent mais ne parlent pas et personne ne les voit, car ceux qui parlent ne savent pas, le sage enseigne par les actes et non par les paroles. Madame et Monsieur, la seule chose qui devrait nous intéresser c’est la passion pour notre métier, c’est l’amour pour notre pays, notre pays doit être plus grand que lui-même. Le Cameroun dispose de 400km de côtes, d’une diversité culturelle incroyable, d’une économie solide et ce n’est pas tout pour attirer les touristes. La cuisine camerounaise doit être au cœur de l’organisation du tourisme de notre pays afin de faire valoir ces atouts. La société va plus vite que l’école, que les enseignements, nous devons faire attention aux changements, garder l’école comme un lieu d’égalité, mais éviter de résister aux innovations. SUP-HOTEL vient donc relever le niveau de la diplomation et éviter que ceux qui n’en ont pas disparaissent de la carte sociale. Il vient aussi résoudre le problème de la formation continue, du recyclage et de la reconnaissance des acquis de compétence. Le projet de société que nous espérons en 2035 ne peut se faire avec des cuisiniers formés au rabais. Le recyclage et le perfectionnement des chefs de cuisine nous interpellent tous parce que chacun de nous se retrouve dans le contenu dudit projet. Nous devons privilégier les savoirs accumulés et les expériences acquises et développer une fertilisation croisée dans toutes les cuisines en faisant chacun de la formation interne.

Historique

Au moment de la création de Sup-hôtel ISTHAC en 2011,

Au moment de la création de Sup-hôtel ISTHAC en 2011, les Etats de la CEMAC et le Cameroun en particulier, ont choisi le tourisme comme un des leviers essentiels pour la relance économique et le développement de la sous-région. De nombreux travaux infrastructurels sont alors envisagés, notamment la construction des routes, la réhabilitation des sites tombés en décrépitude, le lancement de projets de très grandes envergures dont 8 hôtels de classes internationales pour une exploitation prévue dès 2016, nécessitant de cadre pour leur gestion efficiente. En outre le gigantesque projet du complexe balnéaire de yoyo est à cette période plus que jamais d’actualité et prévoit entre autres, plus de quatre-vingt (80) hôtels de classes internationales qui auront besoin de milliers de professionnels qualifiés.Il s’agit d’un investissement d’environ 1000 milliards de FCFA repartis sur 10 ans. Aujourd’hui, avec l’organisation prochaine des CAN féminine (2016) et masculine (2019) et les autres événements majeurs à venir, l’industrie du tourisme devra s’assurer de disposer des hommes à la hauteur. Par ailleurs, le renforcement des capacités professionnelles dans le secteur reste une grande préoccupation tant pour les promoteurs en quête de performance que pour les Etats de la sous-région qui ont besoin de ressources humaines capables de mener à terme, et ce de manière efficiente, les politiques gouvernementales et privées en matière de tourisme et développement. C’est dans ce contexte de relance économique, de développement par le tourisme, de besoin de compétences nouvelles et de renforcement des capacités professionnelles des acteurs du secteur que naît la création de l’Institut Supérieur du Tourisme, de l’Hôtellerie et des Arts Culinaires de Douala au Cameroun (ISTHAC)